BG - Aurora

.BACKGROUND – Aurora

Citation :: Nom : Aurora dit "la Nonnette"
Race : Humaine
Sexe : feminine.
Age : 17 ans
Classe RP : Prêtresse guerrière

Description physique : L’apparence d’une jeune femme de 19 ans dans une armure de mailles recouvrant son corps, Aurora porte également une robe en tissu bleu masquant partiellement son armure.

Un marteau à deux mains, fixé dans son dos par une épaisse lanière de cuir, semble ancien et de bonne qualité malgrès l’usure du temps.

Un épais livre dont la couverture est faite dans du cuir teint en rouge est attaché à la ceinture par une chaine de couleur argenté. L’ont peut distinguer un marteau gravé sur la couverture du livre. Des cheveux bruns et des yeux verts, un visage sans marques ou cicatrices et une peau d’enfant.

Informations supplémentaires : Ayant vécue 3 ans seule et livrée à soit même, Aurora c’est endurcie et même si elle n’hésiterait pas à se battre contre n’importe quel adversaire pour atteindre son objectif (qui est sa principale raison de vivre), elle donnerait sa vie pour sauver les êtres qui lui sont cher.

Toujours droite et fière, elle n’hésitera pas à dire ce qu’elle pense lorsqu’elle le pense peu importe la situation ou la personne face à elle. Bien que les enseignements de sa mère et les 3 années d’entrainement acharné lui permettent aujourd’hui de rivaliser avec certains des meilleurs soigneurs de l’Empire, sa capacité au combat se résume à sa détermination.

Tes attentes [en tant que joueur (se)] : Participer à la vie d’une guilde ayant une vocation Rôleplay et m’amuser.

Tes attentes [pour le Rp de ton (tes) personnage(s)] : Etant désormais en mesure de protéger les personnes lui étant chères, Aurora peut enfin entreprendre pleinement sa vocation qui est de purifier les mutants et les démons faisant un peu plus de victimes innocentes chaque jour au sein de l’Empire.

Pour cela, elle se doit de devenir une combattante hors pair grâce aux enseignements d’Ulric et à l’expérience des combats. Son but final est d’être reconnue comme étant ‘La’ Chasseuse de Démon et de purifier les terres de l’Empire des menaces extérieures.

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- Entretien avec le sergent recruteur.

Talabheim était si paisible, je me demande pourquoi sommes nous envoyés dans un lieu si proche des frontières… Cela m’inquiète.
Comme d’habitude elle ne veut rien me dire, mais je sais au fond de moi que c’est une mission importante, car après tout, il s’agit d’une personne importante !
Il faut désormais que je me repose, la journée de demain sera longue.

A la suite d’une conversation de quelques minutes entre elle et l’un des Prêtres Electeur du village, il fut décidé d’accompagner un convoi de marchandises en direction de Praag.
Simplement deux chariots, chacun accompagné de deux hommes armés ainsi qu’un citoyen et ne transportant que des vivres.

Nous foulons désormais la route de Talabecland et d’après ce que j’ai compris, notre prochaine halte se fera au sein d’une petite ville de l’Ostermark à l’Est de Talabheim, Bechafen.
Toutes les deux marchons à pieds, il parait que c’est un très bon entrainement pour mettre son endurance à l’épreuve. Un jour, je serais aussi forte qu’elle…
Après tout, je suis sa fille !

Tandis que les roues des chariots se font désormais bruyantes, glissantes sur les nombreux cailloux trainant sur un large sentier de terre séchée par un soleil généreux, ma mère ainsi que les 4 gardes semblent très attentif à l’environnement.
Les bords du sentier s’ouvrent sur deux vastes forets dont les arbres disparaissent peu à peu dans l’obscurité comme si un manteau de feuilles les recouvrait, tandis que le vent quant à lui s’occupait des odeurs, ce qui procurait à ces forêts un lieu idéal pour une éventuelle embuscade.

Cela fait maintenant 4 heures que nous marchons et il a été décidé de faire une pause de quinze minutes le temps de reprendre un peu des forces, mais ces chariots sont pleins de bonnes choses… J’ai du mal à me décider.
Après vingt minutes de pause, nous reprenons désormais la route en direction de Bechafen.

Le soleil se couche derrière la cime des arbres tandis que les portes de Bechafen se montrent et toujours pas d’embuscade à l’horizon… Je suis déçue, pour une fois que ma mère décide de m’emmener avec elle, ce n’est vraiment pas de chance !
Mais peu importe, il nous reste encore de la route à parcourir avant d’arriver à la cité de Praag.

Arrivé sur place, les portes s’ouvrirent dans un bruit d’engrenages mal nettoyés alors que 2 gardes nous attendaient de manière à connaitre nos intentions. Fort heureusement, un messager fût envoyé le jour précédant notre départ et avait apparemment réussi à délivrer son message au dirigeant du village, qui fit aussitôt ordonner au palefrenier de libérer une place de sorte à accueillir nos chevaux fatigué par le trajet de longue haleine.

Nous avons également reçu un accueil plus que plaisant. Ce soir, nous dormons tous les huit dans un établissement plutôt modeste faisant office de taverne.
Je vais maintenant me coucher, nous reprenons la route dès demain, à l’aube.

De nouveau sur la route, cette fois-ci en direction du Nord Est nous faisons face à la cité de Praag derrière un vaste désert de terre aride complètement desséché et à perte de vue. Il est temps de traverser, nous n’avons pas de temps à perdre !
Au fur et à mesure que nous avançons, le décor lui reste le même et offre constamment un étrange sentiment de déjà vu.

D’après ma mère, nous venons seulement d’accomplir la moitié du trajet que nous entreprenons depuis notre départ de Bechafen.

Trois heures de marche en plus dans les pieds, j’espère apercevoir prochainement les portes de la cité.

Un vent étouffant vient de se lever depuis maintenant une dizaine de minutes, c’est comme si l’air amassait en lui la chaleur ardente du sol pour nous embaumer de celui-ci.

Tandis que le soleil se couche de nouveau, cela fait maintenant une bonne heure que l’ampleur du vent ne cesse d’augmenter.
Des pseudos tourbillons de poussière se forment à certains endroits, récupérant toute la chaleur du sol et laissant la fraicheur s’emparer de nos corps.
La température vient de chuter de brûlant à glacial en un instant, courage, les portes ne sont plus bien loin !

Enfin, les portes son en vue droit devant !
J’ai bien cru que nous allions tous mourir par le vent glacial tandis que pour ma mère, cela semblait être un quotidien…
Nous sommes finalement tous les huit en vie et devant les grandes portes renforcés de Praag !

Moi qui croyais que nôtre mission était terminée, il s’agissait en fait simplement ‘d’accompagner’ les chariots, un simple service rendu à l’une de ses connaissances.
Je suis impatiente de voir ma mère pour en apprendre plus sur notre véritable mission.
En attendant, je vais aller à la taverne manger quelque chose.

Voila maintenant 2 heures que je suis rentrée de la taverne, si j’avais su, je serais restée là-bas !
Ma mère n’est toujours pas revenue de son rendez-vous avec le Grand Prêtre… Je me demande ce qu’elle fait.
Cela fait désormais 4 heures que je ne réussis pas à fermer l’œil, nous sommes en plein milieu de la nuit et elle n’est toujours pas rentrée… Je suis inquiète.

Ma mère n’est toujours pas rentrée tandis que au loin, des grondements résonnent pendant que la garde cours dans les rues de la cité en direction des portes Nord…
Que dois-je faire ?!
C’est décidé, je dois leur venir en aide, après tout, c’est le devoir d’une Prêtresse-Guerrière d’aider les autres.

Journal Personnel d’Aurora

[CONSIGNE]

Ce journal à été trouvé par le Première Classe Tulau dans les débris de l’établissement ‘La Guérite’ située face à l’entrée nord de la cité de Praag.
Une femme d’une trentaine d’années apparemment au service de l’Eglise gisait morte, le journal dans sa main droite.
Ce journal appartient désormais au service des enquêtes travaillant sur la dernière attaque des Hérétiques.