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 BG - Lorenzo Renero

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Malheur
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MessageSujet: BG - Lorenzo Renero   BG - Lorenzo Renero Icon_minitimeJeu 12 Juin - 12:49

Lorenzo Renero a écrit:
BACKGROUND – LORENZO RENERO

Citation :
Nom : Lorenzo Renero dit "Taille-Lard"
Race : Humain
Sexe : Masculin
Age : 23 ans.
Classe RP : duelliste / voleur.

Description physique : Assez grand, 1.78, il est plutôt musclé mais sans trop, un corps agile et rapide, il est sec. Son visage est carré, son regard droit et fier. De long cheveux noir encadre son visage généralement mal rasé, ses yeux bleu clairs cache bien l'esprit calculateur de l'homme. Bien rasé et coiffé on lui donnerait bénédiction sans confession.

Informations supplémentaires : Lorenzo est un fêtard, il n'aime pas le solitude. Il aime être reconnu socialement et s'investir dans quelque chose honnête ou pas dès l'instant ou il peut en tirer une renommé ou de l'argent.

Tes attentes [en tant que joueur (se)] : Sans réécrire l'exemple très lèche botte que tu as mis en exemple Ljd Malheur, je dirai que je cherche pour ce qui est de la guilde, une guilde ou les membres sont solidaires prêt à l'entraide, aux conseils. Au niveau du jdr une guilde réactive ou il est de l'animation est pas une pseudo guilde roleplay ou deux pauvres rôliste se courent après (genre fin de l'Aarkonie) mais une vrai guilde ou il y a des scénarii, un background, de l'animation, en bref une guilde vivante. Mais ça ce sera à nous de l'apporter.

Tes attentes [pour le Rp de ton (tes) personnage(s)] : Je veux pouvoir faire évoluer mon personnage pour le pousser à devenir un psychopathe criminel qui veut brûler tous le monde sur un bûcher au nom de la lumière.

Plus sérieusement, je verrai au fur et à mesure de mon avancé dans le jeu et le roleplay en fonction des gens avec qui je jouerai et de la guilde pour rester cohérent avec le bg des loups. Mais je vois bien Lorenzo chasseur de contrats et de tête en option.


- Entretien avec le sergent recruteur.


Dernière édition par Malheur le Ven 1 Aoû - 20:32, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: BG - Lorenzo Renero   BG - Lorenzo Renero Icon_minitimeJeu 12 Juin - 12:50

- «Ce magnifique tapis peut être votre pour la modique somme de 100 couronnes monseigneur ! Vous pouvez admirer ici, la finesse de ses broderies elfiques...»

- «Misère de Misère ! Je suis assis la comme un malheureux à écouter mon abrutis de frère faire ses ventes de tapis ! On peut le dire, c'est un vrai marchand de tapis ! Et dire que mon père veut que je reprenne le magasin lorsqu'il partira faire le tour des grands marchés de Tilée au printemps ! Rien que de voir tous ses petits bourgeois se battre pour des toiles et des tapis me coupe l'envie de l'imiter. Mais il faut avouer que par moment ce magasin est des plus intéressants... Par exemple, vous voyez le gros la bas ? Oui celui avec le grand manteau azur. Regardez à sa ceinture. »


Le jeune homme se leva, avança fluide et silencieux comme un félin d'Arabie vers la bourse rondelette de l'homme. Arrivé à la hauteur du gros bourgeois, il se plaça derrière lui comme pour participer à la vente.

Alors que l'homme levait la main pour enchérir sur un tapis, la main du jeune homme passa sur la ceinture pareille à une brise et emporta la bourse loin de son gros propriétaire. Avec habileté, il vida le contenu de la bourse dans une des poches de sa grande chemise rouge puis s'avança vers un jeune homme pauvrement vêtu qui attendait près de l'entrée.
Sans aucune hésitation, il percuta le jeune homme et lui glissa la bourse voler et vidée de ses richesses dans la poche avant de s'excuser avec une profonde sincérité auprès du jeune homme.

Il adressa un clin d'oeil complice aux gardes postés près de la porte par son père pour faire croire à un minimum de sécurité. Fier de son maigre larcin, le jeune homme retourna s'asseoir sur la grand canapé d'angle destiné à accueillir les négociants lors des grands marchés de printemps et se délecta de la suite des évènements.

- «Pas mal n'est ce pas ? Bien que ce ne soit pas très difficile !» Le jeune homme tira un large sourire et reporta son regard vers le bourgeois volé qui venait de gagner le tapis elfique pour la "modique" somme de 300 couronnes. « Maintenant, regarde le gros plein de soupe et amuse toi bien ! »

Le gros commerçant porta sa main à la ceinture pour prendre sa bourse est payer le fameux tapis.

- « Ma bourse !!! Au voleur !!! » Le gros bourgeois au visage porcin se rua vers les deux gardes à l'entrée et leur hurla dessus. « Garde ! Garde ! Ma bourse ! » Les deux gardes se séparèrent et l'un s'approcha du pauvre jeune homme qui s'était fait bousculé quelques instants plus tôt.

- « Monsieur, pourriez vous vider vos poches, je vous prie. » Le jeune homme s'exécuta et sorti une bourse noire bien rebondit de sa poche gauche et devint étonnamment plus pâle lorsqu'il mit la main dans sa poche droite en ressortissant la bourse du marchand.
« Je ... Je ... Je ne comprend pas ... » Le garde le coupa ; « Silence Voleur ! Vous allez répondre du prix de vos actes ! » Le second garde arriva et récupéra la bourse volée ainsi que la bourse de l'innocent qu'il donna immédiatement au gros marchand alors que le second garde emmenait l'homme.

- « Lorenzo viens ici ! » le voleur leva les yeux vers un homme richement vêtu portant de petites lunettes et se leva avec légèreté et avança vers l'homme qui venait de l'interpeller.

- « Mon fils il serait temps d'arrêter tes petits tour de passe-passe dans mon échoppe ! » Lui murmura son père sans cacher sa colère une fois qu'il soit arrivé à sa hauteur.

Après un instant de silence, Lorenzo répondit avec un sourire en coin d'un voix claire et forte ; « Je peux toujours aller le défier et lui faire sauter la tête si cela te fait plaisir au moins plus aucun voleur ne tentera de larcin chez nous. »

Le père voyant bien que plusieurs clients avaient entendu jeta un regard noir à son fils.

- « Laisse faire la justice de notre belle ville mon fils. » Lorenzo déçu par la réponse de son paternel et s'en retourna sur les canapés.

Quelques jours plus tard.


Nord de la ville dans un entrepôt délabré à une heure déjà bien avancée de la nuit.

Lorenzo faisait face à un grand homme portant une grosse barbe noire.« Voici donc messire, les herbes du sud que vous m'avez commandés. » L'homme s'avança vers la vingtaine de caisses entreposés sur le chariot et en ouvrit une au hasard, inspecta son contenu.
L'homme avait un accent kislévite très marqué.

- « Très bien, jeune homme voici vos couronnes. » Lorenzo prit le sac d'or contenant un quart du payement en accompte que lui tendait l'homme. « Tout sera déposé à l'endroit indiqué demain matin, monsieur. » Déclara Lorenzo.


Deux heures plus tard, près des dock de la ville.

Un homme portant une djellaba conversé avec Lorenzo à coté du chariot ou étaient déposée les fameuse caisses. Le marchand Arabe était plus coriace que le Nordiste mais après plusieurs minutes de négociation Lorenzo réussit à convaincre que si il livrait lui même la marchandise sur le navire de l'homme le lendemain cela lui ferait économiser le transport et les porteurs. Le marchand paya la moitié de la cargaison ce soir là et repartit heureux de son affaire, plus que avantageuse.


Quelques minutes plus tard à la sortie Est de la ville, alors que le soleil allait bientot se lever.

- « Voila pour toi Lorenzo ! Alors qui as tu délesté de sa bourse ce soir ? » Demanda un petit Estalien avec qui Lorenzo avait habitude de faire affaire, qui venait de lui lancer une grosse bourse d'or alors qu'il prenait place sur le chariot en souriant. Un Kislévite et un Arabe, pas très bon négociant d'ailleurs. Les deux hommes rire de bon coeur surement à cause de la fatigue à la remarque de Lorenzo.

- « Et ou va tu refourguer la cargaison vieille fripouille ?»

- « A la limite sud de l'Empire, je serais de retour d'ici deux mois je pense. » L'Estalien fit claquer son fouet et s'éloigna de la ville avec la cargaison alors que Lorenzo disparaissait entre les maisons.



Tribunal de Luccini, deux mois plus tard.

- « Accusé numéro 350A.

Renero Lorenzo, 25 ans, né à Luccini.

Vous êtes devant cette cour pour répondre des crimes et infractions suivante. Lorenzo lança un regard suppliant vers son père qui lui rendit un regard noir ; Vol avec préméditation, infraction, Violence volontaire et prémédité sur personne, Organisation de malfaiteur, Chantage sur officiel.
- Falsification de document officiel, Fabrication de faux et usage de faux et Destruction d'un navire marchand.

Le tribunal vous condamne au bagne pour une durée totale de 95 ans et à être banni de la ville à vie. Vous devez également la somme de 2000 couronnes. Cette somme étant déjà versée vous allez être emmené. »


Lorenzo fut enchaîne et jeté dans un chariot d'où il put voir rapidement son père remettre discrètement une énorme bourse au président du tribunal. Après cela, il s'avança vers le chariot ou était enchaîné son fils et lui murmura à l'oreille.

- «Sache que désormais tu n'es plus mon fils et que tu me dois la vie et 4000 couronnes. »


Quelques jours plus tard au nord de Luccini.

95 ans de bagne... Un ticket sans retour, Lorenzo l'avait bien compris.
Mais malheureusement pour lui le chef des gardes convoyant les prisonniers aussi. Après tout, sur le vingtaine de prisonnier, un de plus, un de moins.

Pendant les deux premiers jours, Lorenzo avait tenté de corrompre les gardes, élaboré des plans d'évasion mais toutes ses tentatives ou idées se trouvaient vaines. C'est alors que au matin du troisième jours, sous un soleil de plomb, le groupe de prisonnier et leurs gardiens croisèrent un autres groupe de prisonnier ou plutôt un marchand d'esclave et son bétail humain. Une idée simpliste mais réalisable naquit dans l'esprit du Luccinien ; Convaincre le chef de la garde de le vendre à un marchand d'esclave. La tentative était risquée, mais le chef de la garde, un homme peut recommandable semblait trouver plus d'intérêt dans l'or que dans l'honneur.

Le soir, alors que les prisonniers étaient attachés au sol sous la surveillance d'un garde, Lorenzo attira l'attention du chef ...

- « T'veux quoi encore ! Si s'pour t'barer, j'té dis qu'avé pas assez d'tune !» L'homme leva son poing pour frapper Lorenzo qui s'empressa d'expliquer son projet.

- « J'ai une proposition bien plus intéressante à vous faire ! » Le chef posa un regard intrigué sur le prisonnier et écouta la proposition toujours pret à coller une à Lorenzo. « Vous avez vu les troupes d'esclaves que nous croisons, je suis certain que l'un d'entre eux vous lâcherez une petite somme pour un esclave de plus ! Vous n'avez rien à perdre, car pour vous je n'ai aucune valeur, ce serait quelques couronnes rapidement gagnées ? »

Le chef des gardes se gratta le bouc dans un instant de réflexion. « Moué c'est f'sable, j'spère pour toi qu'on va en croiser des ploucs marchand d'viande. »


Le lendemain matin au alentours des quinze heures.


Lorenzo à moitié endormi par le soleil plomb, se rappela à quel point les cage étaient petite lorsque un des gardes prit plaisir à frapper sur celle-ci.
Le chef des gardes étaient posté devant sa cage un grand homme à la peau très blanche à ses cotés. Sa cage fut ouverte et il fut jeté au sol sans ménagement. L'homme visiblement un nordiste l'inspecta rapidement puis en pesant bien ses mots regarda d'un regard froid le chef de la garde.

- « Je vous en donne 150 couronnes. »

Le chef déçu et irrité lui répondit immédiatement ; « Il en vaut deux fois plus ! » Avec un petit sourire et après quelques instants de silence le nordiste ajouta.

« En l'occurrence, à la vu de vos uniformes ... Je peux supposer qu'il n'a aucune valeur pour vous ? 150 couronnes pour dire que l'un de vos prisonnier et mort en chemin ... Je trouve cela bien payé, n'est ce pas ? »

Le chef acquiesça ; « Bon il est à vous.» Lorenzo eut du mal à réprimer un léger sourire, une petite victoire à son compte.

Malheureusement l'esclavagiste semblait avoir vu cette expression. «Esclave ! Sache que tu ne gagne rien en changeant de cage.» Lorenzo entendit des bruits de pas derrière lui puis ... Le noir.


Dernière édition par Malheur le Lun 14 Juil - 0:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: BG - Lorenzo Renero   BG - Lorenzo Renero Icon_minitimeJeu 12 Juin - 12:50

Une semaine plus tard au nord de la Tilée.


Ce soleil de plomb quelle horreur ! La chaleur, la puanteur de ces hommes, des autres prisonniers, cette réalité qui avait surgi pour prendre Lorenzo au cou ; « Tu ne pourra pas t'enfuir ! » Pieds et poings liés au fond de sa cage, il n'avait aucun moyen de crocheter la serrure et même si il y arrivé, il serait repris en quelques instants. Si seulement il avait une arme, il aurait pu tenter une attaque frontale... Mais cette idée lui sortie rapidement de la tête, trop d'adversaire dans le tas quelques un devaient avoir de l'expérience.

Le chef en particulier, ça se voyait dans sa posture naturel, toujours aux aguets, toujours sur ses gardes, ses gestes étaient sec et précis.
Il portait à sa ceinture un très belle rapière d'ailleurs.

Lorenzo trouva étrange qu'un homme de sa corpulence se batte avec une arme habituellement utilisée par des combattants plutôt mince qui use d'agilité plutôt que de force. Mis à part le chef, les autres esclavagistes n'avaient pas l'air d'être d'avoir beaucoup de technique au premier coup d'oeil, mais il fallait toujours faire attention.


Le soleil de plomb écrasait toujours plus la caravane alors qu'il atteignait le zénith.

- « Lorenzo ! Sois attentif nom de nom !!! » L'homme réouvrit les yeux, tout était embrumé, il reconnu rapidement la salle d'arme du vieil estalien.

- « Alors garçon ! Si je t'ai pris ici, ce n'est pas pour rêvasser !!! »

Tout était lent et laiteux, comme pris dans une brume grise des matins d'hiver dans le nord « Remets toi en position ! Debout ! Le Tiléen tenta de se leva, mais il n'y arriva pas comme cloué sur place. Une silhouette sembla sortir de lui, lui même avancé vers le vieux maître d'arme, droit comme un I, propre et bien vêtu contrairement au Lorenzo d'aujourd'hui. Celui-ci une fois face au maître prit la parole, sa voix étrangement grave, résonna dans la salle plongée dans la brume jusqu'à se perdre.

- « Je suis prêt, pardonnez moi de cette instant d'étourdissement. » Lorenzo toujours cloué au sol, comme spectateur de ce rêve attendit sans avoir aucune prise sur rien. Tout, jusqu'à son esprit marchait au ralentit.

- « Rappelle-toi bien, dans que lors d'un combat, tu n'as pas une seconde à perdre, pas un instant d'inattention à avoir ! Du doit être toujours prêt à utiliser les failles de ton adversaire ! Mais lui aussi fera de même. Tu dois toujours être attentif et réactif à tout ce qui t'entoure. Sache que lorsque tu es confronté à un homme, celui-ci a la même envie de survivre que toi. Sache que la moindre erreur t'amènera à la mort. Tu ne dois pas réfléchir, Une faille, Une attaque, Une victoire. »

Le Lorenzo de ce rêve regardait le vieil Estalien avec un semblant d'interet, un petit sourire au coin des lèvres.

- « Vous savez maître cela fait quinze ans que j'entend cela tous les jours.

- « Et tu verras ça ne te fait pas mal ! Même avec une vie d'expérience tu peux toujours te faire mettre en pièce ! Il y a toujours plus fort dans ce monde ! EN PLACE ! »


Les deux hommes se mirent face à face, Le vieil homme avait une tenu parfaite, droit, tendu et souple à la fois, Lorenzo avait une posture déjà moins parfaite, que le maître s'empressa de corriger.

« Debout demi-baloche !!! Allez !!! »

Lorenzo fut tiré de son rêve car un coup dans les cottes.

« Aller p'auv crache-lait mange ça ! »

Tout était redevenu lumineux et brulant, le fracassant soleil était de retour. Une tortionnaire, lui tendait un petit bol remplit d'un espèce de ragout pas très ragoutant. Lorenzo se jetta sur le bol qu'il avala en un instant



Deux mois plus tard dans les forets du Middenland.



Cela faisait deux mois déjà que Lorenzo avait été vendu a ses esclavagiste. Il avait oublié l'idée de toute fuite depuis un bon moment déjà. Le groupe d'esclavagiste était moins important qu'au départ, beaucoup était partie vers l'Estalie. Seulement une trentaine avaient continués vers Kislev. Les esclaves n'étaient plus dans les chariots, mais devaient maintenant marchés, pieds et poings liés. La troupes d'un centaine d'âmes traversées donc les grande foret de l'empire.

Lorenzo était un des premiers de la colonne, juste derrière les hommes du capitaine. Ceux-ci n'étaient visiblement pas enchantés de passé à proximité d'un certaine Wolfenburg.

Wolfenburg ... Lorenzo se remémora les cartes que son père avait acheté à prix d'or. Des cartes de tout le vieux monde qu'ils avaient d'ailleurs revendu plusieurs mois plus tard beaucoup plus cher à un Estalien.
L'homme était heureux d'avoir pu les étudier, mais ce qui le rendait moins souriant était la conversation des esclavagistes, discours qu'ils tenaient depuis qu'ils étaient arrivés dans les grandes forêt du nord de l'Empire.

- « S'te foutu ville a été rasée par le Chaos quand y sont v'nu du nord. Parait qui en encore qui traine dans les bois d'ces saloperies ! Buter de l'orc ou de l'homme bête s'pas trop dang'reux mais l'démons moi j'touche pas ! »

- « T'aura pas l'choix t'façon si y nous tombent dessus. »


Tout à coup, il y eu un sifflement, une flèche venait de se planter dans le coup de l'esclavagiste devant lui qui s'effondra se tenant le coup en hurlant tout en s'étouffant dans son sang.
Les hommes qui étaient à ses cotés restèrent sans voix un instant, un instant qui fit perdre la vie à deux autres d'entre eux.
C'est alors que la voix tonitruante du chef de la troupe d'esclavagiste retentit.

- « REGROUPEZ VOUS ! »

Les hommes manquaient d'entraînement cela se voyait au premier coup d'oeil, chacun d'entre eux était un devait être un bon combattant, mais ils n'avaient aucune cohésion. Lorenzo s'était jeté à terre au coté du premier mort à la recherche d'un trousseau de clef. Les hommes s'étaient rassemblés tentant de faire rempart de leurs bouclier. Les flèches sifflaient toujours passant entre les boucliers avec une précision redoutable.

Le trousseau de clef, enfin ! Sur un garde mort tout prêt du premier Lorenzo trouva un trousseau d'un vingtaine de clef qu'il commença a essayer. Les esclavagistes rassemblés autour de leur chef tombaient comme des mouches, ils n'étaient plus qu'une poignée. La pluie de flèche s'arrêta lorsque le dernier homme tomba, Lorenzo venait juste de trouver la clef qui permettrait de s'enfuir. Il détacha ses liens, puis toujours allongé il regarda vers les bois la peur au ventre.

Une soixantaine d'homme repartient un peu partout autour de la route en sortirent.

L'un d'entre eux s'écria.

- « Ne prenez que les objets de valeur et en vitesse ! »
- « On fini les survivants chef ? »
- « S'ils résistent oui ! Sinon, Laissez ce plaisir aux hommes-bête ! »


Le groupe de pillard commença par le chariot de tête puis celui de queue en passant par les hommes d'arme.
Le chef s'approcha de la colonne d'esclave en retournant un du pied.

- « Ne fouillez que les hommes en armes, les autres sont des esclaves ! » La fouille dura une dizaine de minutes, de temps à autre le hurlement d'un homme se faisait entendre. Dès qu'ils eurent fini, les bandits partirent aussi rapidement qu'ils étaient venu.

Lorenzo, après avoir attendu quelques minutes, se releva. Il fallait faire vite, le charnier allait attirer des créatures peut recommandables. Mais ou aller ? Les hommes d'armes avaient parlé d'un camp plus au nord sur le la route, près de Wolfenburg ou plutôt de ses restes. Avant de partir, il s'enquit donc de chercher une arme au milieu des cadavres. Après quelques instants, il trouva une rapière sous un homme. Il prit la ceinture de l'homme et mis le fourreau à celle-ci.

Après quelques minutes supplémentaires de recherche, il trouva une minuscule bourse dans le gilet d'un homme tout prêt du capitaine, deux couronnes d'or étaient dans celle-ci.

Les bandits avaient pris les chevaux, et Lorenzo ne connaissaient pas la route. Il commença a avancer et passa à la hauteur du commandant de la troupe, celui ci avait été dépouillé de sa cape, son armure de maille et ses armes. Il avait une flèche dans l'épaule, une blessure qui pourtant n'était pas mortelle. C'est alors que le commandant attrapa la cheville du Tiléen, l'attirant à lui avec une force étonnante pour une blessé.

- « Aide moi ... » chuchota le chef blessé. Surprit Lorenzo se retourna posant les yeux sur le chef au sol. Il n'avait aucun intérêt à aider cette ordure. De plus pourquoi s'encombrer de ce poids dans cette foret pleine de danger ?

- « Tu ne sais pas ou aller ... Tu te perdra dans cette foret et tu y mourra ... » Le chef parlait lentement, Lorenzo pu se rendre compte qu'il avait une autre flèche dans la jambe. L'homme s'approcha du blessé, il avait été frappé dans les cotes, une arme contondante visiblement.

- « Faisons un marché ... » dit-il en toussant bruyamment. «Tu n'as pas été marqué de la marque des esclaves ... Je te dis quel route suivre ... et tu me dépose la bas ? Marché conclut ... Tu n'as pas le choix Tiléen ... »

- « Tu n'as pas le choix non plus, dit moi ou aller et après nous verrons. » Le blessé hésita un instant puis n'aillant d'autre choix, il parla.

- « Suis la route jusqu'au prochain carrefour, suis la route du nord, pendant une journée ... tu arrivera à un pont ... Ne le traverse pas ... Suis le rivière vers ... l'ouest pendant une demi journée ... tu trouvera une route ...» toussant toujours. «Suis la jusqu'au campement de Wolfenburg ... C'est un campement de mercenaire, de soldat, de survivants de la ville ...» Le blessé tourna de l'oeil et retomba au sol de tout son poids, les blessures n'étant pas mortelles si des soins étaient appliqués.

- « Bon débarras. » Lorenzo partit laissant l'homme à son sort.
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